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Criminalité et « pénalisation de pauvreté » dans les centres urbains au Ghana

 

L’urbanisation rapide du Ghana a contribué à la réduction de la pauvreté dans l’ensemble du pays, mais la criminalité et la violence sont à la hausse. Des chercheurs de l’université du Ghana soutenus par le CRDI ont mené une enquête pour essayer de déterminer pourquoi la réduction de la pauvreté n’aidait pas à diminuer le taux de criminalité et à prévenir la violence. Résultat ? Les théories occidentales quant au lien qui existe entre criminalité et pauvreté n’arrivent pas à expliquer la dynamique présente au Ghana.

Dans cet exposé, l’équipe de recherche partage les résultats de son projet de trois ans intitulé : « Examen de l’axe criminalité-pauvreté dans les centres urbains au Ghana ». S’inscrivant dans l’initiative Villes sûres et inclusives, le projet a permis de déterminer que les personnes pauvres sont pénalisées pour leur pauvreté : elles sont plus susceptibles d’être victimes d’un crime, mais elles n’ont pas les ressources pour le prévenir ni pour obtenir justice. De plus, il est difficile de tirer des conclusions sur l’axe criminalité-pauvreté, compte tenu des cercles vicieux qui en découlent.

Pour en apprendre davantage sur l’interaction entre la criminalité, la violence et la pauvreté dans quatre villes du Ghana, lisez l’exposé des résultats de la recherche « Criminalité et pénalisation de pauvreté dans les centres urbains au Ghana » (PDF, 6,5 Mo).

Apprenez-en davantage sur le projet « Examen de l’axe criminalité-pauvreté dans les centres urbains au Ghana » et ses constatations.

Renseignez-vous sur la façon dont le CRDI travaille à créer des Villes sûres et inclusives en partenariat avec le Department for International Development du Royaume-Uni.